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Toutes les thèses
Peinture, Vitrail, Critique d’art. Le parcours d’un « artiste chrétien » : Claudius Lavergne (Lyon, 1815-Paris, 1887)
L’étude approfondie de la vie et de la carrière de Claudius Lavergne offre un observatoire privilégié sur l’histoire artistique et religieuse du XIXe siècle. Cet élève d’Ingres et ami de Lacordaire fit en effet partie des figures les plus significatives du renouveau catholique des années 1830-1860, ainsi que des acteurs importants de la production de vitraux de la seconde moitié du siècle.
La cathédrale de S. Maria Assunta à Cosenza et la culture artistique du sud de l’Italie médiévale, entre tradition locale et influences françaises
La recherche porte sur l'étude historique et architecturale de la cathédrale de Cosenza en Calabre, un édifice clé du début du XIIIe siècle dans le sud de l'Italie. Malgré l'importance du bâtiment à ce jour il n’a pas encore fait l’objet d’une monographie scientifique approfondie, si bien que de nombreux aspects restent débattus et problématiques. En partant d'une analyse détaillée du bâtiment une édition critique de la cathédrale a été fournie. Cela a été rendu possible grâce à une relevé par scanner laser et à la découverte de toute la documentation inédite sur les restaurations.
La représentation de la sainteté dans la peinture religieuse en France au XVIIIe siècle
Cette thèse a pour objectif d’analyser la représentation des saints en France au dix-huitième siècle. Elle s’appuie sur un corpus de plus de mille cinq cents peintures. Elle emprunte les voies de la sociologie religieuse et de la méthode iconographique et elle s’entrecroise avec les écrits hagiographiques des théologiens et avec l’actualité canonique et polémique de l’Église au dix-huitième siècle. À travers l’étude des représentations, elle vise à définir ce qui caractérise la sainteté en peinture et à déchiffrer des signes dévotionnels.
Ce que la couleur peut dire. Sous le pinceau de Jean Fouquet
À partir d’un corpus iconographique constitué par les huit premières miniatures du Livre d’heures d’Étienne Chevalier, qui a été illustré par Jean Fouquet au milieu du XVe siècle, notre recherche a fait l’hypothèse que la couleur y est investie d’un rôle sémantique essentiel. Une hypothèse que nous nous sommes efforcée de justifier en cherchant à déterminer la logique qui présidait aux différents agencements chromatiques de ces œuvres.
François Chauveau (1613-1676), dessinateur et graveur
Cette étude vise à mieux connaître François Chauveau, dessinateur et graveur ; cet artiste important se fit l’écho de l’expression artistique, au milieu du XVIIe siècle, à la charnière des règnes de Louis XIII et de Louis XIV.
Au cœur du système haussmannien : Henri Blondel (1821-1897), architecte, entrepreneur et financier
Entre le Second Empire et la IIIe République, l’architecte-entrepreneur-financier, Henri Blondel (1821-1897), fut l’un des plus actifs dans les grands travaux parisiens. Il s’illustra, en particulier, dans la construction de plus de 172 maisons de rapport, de l’hôtel Continental, du magasin de la Belle Jardinière, ou encore de la Bourse de commerce. Blondel fut également un entrepreneur qui agit, pour le compte de sociétés immobilières, à différents travaux publics dont l’aménagement de quartier et le percement de voies, en France, en Belgique ainsi qu’au Panama et au Brésil.
L’œil‑caméra. La photographie, le film et la vidéo dans l’œuvre de Michelangelo Pistoletto (1958‑2021)
Michelangelo Pistoletto a créé des dispositifs picturaux et spatiaux, des installations, des œuvres, des actions participatives et des performances avec le film dès 1958, la photographie depuis 1962 et la vidéo à partir de 1970. Au cours des décennies qui suivent, il conçoit continuellement des œuvres avec la photographie, sporadiquement avec la vidéo et rarement avec le film. Tandis que son travail pictural figuratif se situe dans un héritage de Francis Bacon, celui‑ci l’amène aux tableaux‑miroirs qui sont les premières raisons de son usage de la photographie.
L’éveil du paysage. Peindre la nature sous le règne de Louis XIV
Cette thèse retrace la carrière des seize peintres paysagistes agréés à l’Académie royale de peinture et de sculpture durant le règne personnel de Louis XIV (1661-1715). L’étude se penche sur l’évolution du goût pour la peinture de paysage, un genre pictural longtemps jugé mineur et décoratif, resté terra incognita pendant près de deux siècles. La thèse présente une monographie de chaque artiste, ainsi qu’une étude transversale concernant le paysage de cette période.
Le Maître de Coëtivy : la peinture à Paris au temps de Colin d'Amiens (vers 1450-1500)
Figure incontournable de l’enluminure parisienne dans la seconde moitié du XVᵉ siècle, la personnalité artistique anonyme désignée sous le nom de convention « Maître de Coëtivy » est loin d’avoir limité son champ d’action à la seule peinture dans les livres ; tableaux et patrons pour des tapisseries et des vitraux sont également à mettre à son actif. L’ensemble redessine les contours d’un peintre polyvalent de premier plan dans la France royale de Charles VII et de Louis XI.
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