Actualités Doctorant(e)s

Stage au Département d'histoire de l'art de l'Adémie de France à Rome - Villa Médicis. Fondée en 1666 par Louis XIV, l'Académie de France à Rome - Villa Médicis est un établissement français installé depuis 1803 à la Villa Médicis, villa du XVIe siècle entourée d'un parc de sept hectares et située sur le mont Pincio, au cœur de Rome.

L’École française de Rome et l’Académie de France à Rome – Villa Médicis ouvrent l’appel à candidature pour la sélection des lauréats Daniel Arasse 2025-2026. Depuis 2001, dans le cadre de leurs échanges scientifiques, l’École française de Rome et l’Académie de France à Rome – Villa Médicis attribuent chaque année huit bourses (correspondant à huit mensualités) pour des recherches portant sur l’art de la Renaissance à nos jours.

La Fondation Ferrer décerne un prix annuel récompensant un travail de recherche inédit portant sur les arts décoratifs français du XVIIe au XIXe siècle, et destiné à être publié en langue française. Le manuscrit en question – thèse de doctorat ou équivalent – doit apporter un regard nouveau sur un ou plusieurs domaines des arts décoratifs français et renouveler les connaissances en la matière. Les dossiers de candidature ne peuvent être soumis plus de deux fois. Date limite 4 mai 2025.

Interventions de Hector Chapron, mercredi 5 de 15h30 à 16h (heure locale) “La mode des bustes antiques comme objets de décor : itinéraire commercial, circulation et critères de sélection des acheteurs selon l’évolution des goûts dans l’Europe de 1515 à 1830” (Zoom) Tara Chapron, jeudi 6 mars de 15h à 15h30 (heure locale) “Perceiving aesthetic values through the costumes of Europe's Bronze Age elites”

Appel à communication pour le colloque international du 7 et 8 novembre 2025. Date limite 28 juin 2025. « Aller à contre-courant des négligences et de l’oubli », telle est, selon Antoine Schnapper, l’une des tâches de l’historien de l’art. L’histoire de l’art s’est construite à travers une sélection d’œuvres et d’événements jugés dignes de mémoire. A l’inverse, les artistes, artefacts et autres objets jugés indignes d’une époque, d’un courant, d’un discours, ont été négligés ou occultés. Les notions de « fortune critique », de « postérité » et de « réception » mettent en lumière cette dynamique. Les artistes du XVIIe et du XVIIIe siècle et leurs œuvres qui bénéficient d’une reconnaissance durable échappent à l’oubli, tandis que d’autres, moins valorisés, disparaissent des récits. Ces destins contrastés trouvent leurs racines dans des facteurs divers : l’évolution des sensibilités esthétiques, la nature matérielle des œuvres, les bouleversements historiques ou encore leur visibilité au sein des collections muséales.

Le Centre André-Chastel a le plaisir d’inviter ses nouveaux doctorants à présenter leurs recherches au sein d’un événement ouvert au public. Comme l’année précédente, chaque doctorant prononcera une communication permettant de rendre compte des travaux menés dans le cadre de leur Master Recherche et les ayant menés à entamer une thèse de doctorat en Histoire de l’Art.

L’Association d’histoire de l’architecture (AHA) organise une journée consacrée aux jeunes chercheurs et chercheuses, le 13 juin 2025 à l’ENSA Paris-Val de Seine. Dans un esprit aussi convivial que scientifique, nous souhaitons donner la parole aux doctorants et aux doctorantes afin d’évoquer un moment décisif auquel ils ou elles ont été confronté·e·s lors de l’élaboration de leur recherche.

Justine Lécuyer est lauréate du Prix Jean Royère en arts visuels (prix solennel de la Chancellerie des Universités de Paris 2024). Elle a reçu cette distinction lors de la cérémonie qui s’est déroulée le 3 décembre 2024, dans le Grand Amphithéâtre de la Sorbonne.